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Le Prana

L’énergie vitale qui alimente votre corps et votre esprit. Comprendre son rôle, éviter les pièges et retrouver équilibre et vitalité.


Le Prana, c’est la base. L’énergie vitale qui remet de l’ordre dans le chaos de nos doshas et de notre alimentation. L’énergie qui circule partout, qui anime notre corps et notre esprit. Mais alors, pourquoi on se retrouve souvent à se sentir plombé, épuisé, ou avec l’impression que notre propre corps nous trahit ? Tout simplement parce qu’on  ingurgite tout et n’importe quoi. Des pensées, aux stress quotidiens et puis aussi comment on traite notre Agni, ce feu digestif qui décide si nous carburons au Super ou si nous tournons à l’huile de friture ou encore à l’éolien.

Vous êtes vous déjà lancé dans un régime draconien, privatif, qui vous fait détester la vie ? Bravo, vous venez de remplir votre sac à merdasse à ras bord ! Et une fois le programme fini, boum, vous gonflez ou regonflez, car votre corps a crié famine pendant tout ce temps. Du coup, il fait des stocks en mode hamster ou écureuil. Normal : il a eu peur de crever la dalle ! Donc il fait des réserves, histoire de pas manquer la prochaine fois.

Alex, mon fils et Karadoc, de Kaamelott, ont raison : le gras, c’est la vie. Mais pas n’importe lequel. Contrairement à ce qu’on nous rabâche à longueur de temps, oui nous avons besoin de gras dans nos assiettes. Bien sûr pas des bains d’huile où baignent nos aliments, nous sommes bien d’accord. Mais certains gras nourrissent notre corps et lui apportent le carburant dont il a besoin.

Par contre, le gras de l’humiliation, celui qui vient avec les coups de pelle, est superflu. On se le met en se regardant dans le miroir en mode « je suis moche » ‘je suis nulle », et là, c’est une autre histoire. Ce gras-là, il est chargé d’émotions lourdes, d’auto-sabotage, et il pèse bien plus que son poids sur la balance. Il est important de comprendre tout de même, que la blessure qui nous fait grossir, de partout ou d’une partie du corps, c’est la blessure d’humiliation.

Il est à noter aussi que nous mangeons pour étouffer nos émotions. Un petit coup de blues ? Hop, du sucre, du chocolat (même si le chocolat avec sa betterave, ses fèves de cacao, c’est un légume hein lol). Une journée stressante ? Hop, des chips. Mais à force d’enfouir sous la bouffe ce qui nous travaille, le corps finit par saturer et envoyer des signaux de détresse.

Et puis, forcément, en mangeant n’importe quoi, n’importe quand, nous grossissons… Et bonjour la blessure d’humiliation le retour. Mais également la blessure d’abandon qui peut venir taper à la porte. Car nous avons besoin de nous remplir, d’étouffer le vide intérieur. Cela dit, on ne grossit pas forcément avec cette blessure car elle peut aussi nous couper l’appétit si la détresse ressentie est trop grande.

Mais parfois il est à noté que nous absorbons et ne prenons pas un gramme, voire maigrissons. Et là encore il y a déséquilibre. Manger comme quatre et rester maigre car nous brûlons par notre colère et notre blessure d’injustice toutes les calories absorbées. Les personnes marquées par cette blessure ont souvent un contrôle extrême sur elles-mêmes, y compris sur leur alimentation. Elles serrent tout, y compris leurs émotions, et leur corps suit le mouvement en restant tendu, parfois sec et noué. Beaucoup de Pitta là-dedans !

Ou vivre dans le stress et l’angoisse permanents et se couper l’appétit. Comme pour disparaitre avec la blessure de rejet. Notre métabolisme carbure en mode survie. Beaucoup de Vata sont concernés, avec ce côté aérien, dispersé, nerveux, qui brûle tout sans stocker.

Ou encore varier notre poids en mode yo-yo avec la blessure de trahison. Parce que c’est une blessure où on cherche le contrôle absolu… Et quand on perd le contrôle, on peut tomber dans les excès, que ce soit trop manger ou ne plus rien avaler du tout.

Bref en gros, les blessures influencent non seulement notre psyché mais aussi notre rapport à la nourriture et au corps. Quand nous comprenons notre blessure dominante, nous voyons mieux pourquoi notre corps réagit comme il le fait.

Oui mais comment changer tout ça ?

Déjà d’une, prendre conscience que l’on vit comme si on était encore des Cro-Magnons qui devaient dépenser une énergie folle pour chasser un tigre à dents de sabre. Sauf qu’aujourd’hui, la chasse, c’est le scroll sur son téléphone. L’hiver, c’est Netflix sous un plaid.

Mais on continue à bouffer comme si on avait besoin de réserves pour une famine imminente. Trois repas, plus le goûter, et tout sauf de l’eau pour s’hydrater. Bonjour le café à outrance, les sodas qui acidifient le corps, et le Kapha qui se bétonne dans la terre comme s’il était prêt à être jeté dans l’Hudson River par la mafia d’Al Capone (et si vous êtes Kapha, vous voyez très bien de quoi je parle !).

Et puis nous vivons aussi de stress permanents qui nous font brûler notre feu intérieur en non stop. Les brûlures d’estomac et autres pressions acides se font sentir régulièrement.

Alors vous allez me dire, ben oui mais moi je fais un jeûne et hop… alors certes certaines personnes ont besoin de faire des jeûnes complets ou intermittents. Le problème est que le jeûne, mais c’est ma conception des choses. C’est un peu comme quand on est malade, on s’alite et on perd du poids. Oui mais le poids perdu c’est du muscle. Et pendant le jeûne on perd du muscle. Et puis là encore, on remplit son sac à merdasse, car le corps se met en mode PLS de famine et lorsque nous reprenons l’alimentation, il se goinfre. Se remplissant de nouveau de toxines.

Avec le Prana, pas de perte de muscle, on perd du gras. On s’affine, on a une énergie de dingue, car notre corps ne souffre pas, il est nourrit autrement. On y va en douceur, avec des liquides pour alléger notre estomac. Qu’il se repose, car comprenons bien aussi que la digestion dépense une énergie folle. Que ce soit la digestion d’aliments ou psychologique, elle pompe un maximum d’énergie et nous laisse exsangues.

La solution, enfin pour moi, mais chacun fait ce qu’il veut : le Prana. Alors, le but n’est pas de tomber dans un pranisme mystique extrême où on vit d’air évidemment. C’est de retrouver un équilibre intelligent et pragmatique. En comprenant votre dosha, en respectant votre feu intérieur (Agni) et en vous reconnectant à une alimentation vivante et adaptée à vos besoins réels, vous donnez à votre corps l’opportunité de se sentir léger, énergisé et aligné avec ce que vous êtes vraiment.

Parce qu’au final, c’est simple : si votre corps pleure sous le poids des chips et du sucre. Où s’il est en mode survie car les calories avalées partent en fumée. Il est temps d’écouter votre corps et de le nourrir avec ce qu’il réclame vraiment : du Prana, de la conscience, et un bon équilibre ayurvédique !

C’est pourquoi j’ai créé cet accompagnement de 21 jours pour nourrir son corps de Prana. Pourquoi 21 jours, car notre cerveau a besoin de ce laps de temps pour intégrer de nouvelles données, de nouveaux rituels. Donc, tous les jours, pendant 21 jours, nous faisons un zoom pour savoir comment s’est passé votre journée. Qu’est ce qui est venu vous chercher d’un point de vue « crocodile intérieur ». Vous savez, ce mental ruminant, des pensées parasites qui nous oppresse tant il veut nous protéger. Mais qui finit par nous envahir et nous couper de notre discernement.

Pourquoi 21 jours ? Parce que notre cerveau a besoin de ce laps de temps pour ancrer un nouveau rythme.

Comment cela se passe-t-il ?

👉 Tarif : 888 €

👉 Paiement en plusieurs fois possible :

💬 Envie de vous libérer du poids de la nourriture émotionnelle et de retrouver votre énergie ? Contactez-moi !