Pensez-vous vraiment avoir la liberté de penser ?
Pensez-vous vraiment avoir la liberté de penser ? Découvrez comment cultiver votre indépendance d’esprit dans un monde de diktats.
Posons-nous cette question : quelle est la vraie nature de la liberté intérieure ? En 2003, Florent Pagny chantait « Ma liberté de penser », avec une dose de rébellion toujours d’actualité. La liberté intérieure ne se résume pas à une opposition systématique à la société, mais à la capacité de faire des choix conscients pour soi-même. Dans cette nouvelle actualité intitulée “Pensez-vous vraiment avoir la liberté de penser ?”, nous explorerons comment s’écouter, suivre son propre chemin et ne pas se laisser influencer par les normes sociales pour atteindre une véritable liberté. Une Rébellion Douce et une Indépendance d’Esprit dans un monde rempli de diktats clivants, ça vous dit ???
Comprendre avant tout : La Liberté par la Connaissance
La liberté intérieure, c’est commencer par comprendre les attentes sociales et comment elles peuvent limiter notre véritable essence. Analysons les mécanismes par lesquels la société influence nos choix. Et cela depuis tous petits, car nous sommes mis dès la maternelle dans des moules, comme si nous étions des gâteaux ou des quiches. Tentons d’identifier ce qui nous empêche de nous épanouir pleinement. Comment les influences extérieures nous touchent-elles et que pouvons-nous faire pour les reconnaître ? Bien sûr, ne pas contredire tout et tout le temps sans réflexion, mais ayons un esprit critique et ouvert. Gober tout et n’importe quoi ne permet pas d’être soi.
La Beauté de la Liberté Intérieure
Ceux qui cultivent la liberté intérieure choisissent de se prémunir des influences extérieures sans haine ni rancœur. Ce détachement, fondé sur la compréhension et le pardon, est essentiel pour trouver la liberté. Elle nous libère des chaînes invisibles qui nous retiennent. Contrairement à ceux qui luttent constamment contre les forces extérieures et intérieures. Lutter est épuisant, et vouloir convaincre mène à une fermeture de cœur. Nous n’avons pas à lutter en permanence. Cultivons notre liberté intérieure. Chacun a le droit d’avoir un avis différent, et qu’est-ce que ça peut bien faire ? Puisque nous sommes tous différents et uniques. Respectons-nous tout en acceptant nos désaccords. Et d’ailleurs, pourquoi devrions-nous être d’accord tout le temps ? Cela serait fade non ??
Indépendance d’Esprit vs. Révolution : Une Distinction Importante
Le révolutionnaire réagit aux pressions extérieures, restant souvent prisonnier de ses propres combats. Il s’enferme parfois jusqu’à la souffrance, persuadé d’être sur le bon chemin. Mais il est seulement sur son propre chemin. Vouloir y entraîner les autres l’use. Une vie de lutte en lutte est-elle souhaitable pour évoluer ? Peut-être pour certains qui pensent que nous n’évoluons que dans la souffrance. Il est vrai que lorsque nous souffrons beaucoup, nous évoluons plus rapidement. Mais ne peut-on évoluer aussi lorsque tout va bien ? Peut-être n’avons-nous pas appris cela et ne savons-nous évoluer que dans les épreuves difficiles.
En revanche, lorsque nous comprenons que certaines épreuves sont nécessaires pour évoluer, mais sans lutter en permanence, nous allons vers la résilience. La personne libre d’esprit trouve la liberté en choisissant de ne pas participer à des systèmes qui ne lui conviennent pas. Elle ne se laisse pas entraîner par des conflits inutiles et, la plupart du temps, vains. Il est important de comprendre cette distinction pour atteindre une paix intérieure durable.
Vivre Librement : L’Art de l’Indépendance d’Esprit
Vivre librement, c’est sortir du système sans blessures émotionnelles. Celui qui cultive l’indépendance d’esprit atteint une paix intérieure durable. Il vit selon ses propres termes, sans être influencé par les attentes externes. Comment pratiquer cet art au quotidien ? L’effet miroir que nous renvoient les autres est là pour nous faire travailler nos blessures. Les comprendre, au lieu de lutter et de pointer du doigt rapidement, c’est se demander : pourquoi ?
Accuser l’autre est facile, regarder en soi l’est moins. En posant cette simple question : pourquoi ça me travaille autant ? Qu’est-ce qui me chiffonne ? Une cliente me disait qu’elle avait envie de sortir sa pelle et que c’était pas bien. Je tente de ne plus le faire, me dit-elle ? Mais pourquoi donc ? Accueillir sa colère, penser que l’on aimerait mettre un coup de pelle à telle personne ou mieux, faire Hulk avec Loki, est sain. Bien sûr, on ne va pas passer à l’acte. Mais le fait d’avoir envie de dégainer notre pelle ou d’écrabouiller l’autre doit nous interpeler. Pourquoi cette personne nous fait-elle réagir si fortement ? Qu’est-ce qui me gêne dans son comportement ? Ses paroles ? Pourquoi est-ce que je réagis avec autant d’émotion ?
Écoutons nos émotions, car elles nous parlent de nos besoins non nourris. Acceptons notre colère pour qu’elle puisse s’exprimer, pas avec un coup de pelle, mais en prenant conscience de nos besoins à nourrir. Faire la paix avec soi-même au lieu de remplir notre « sac à merdasse » avec des colères rentrées ou des frustrations.
Discernement et Indépendance : La Clé de la Liberté Intérieure
Pour atteindre la liberté intérieure, il est crucial de ne pas se laisser entraîner dans des situations qui ne correspondent pas à nos valeurs ou besoins. Réfléchir par soi-même, avoir une opinion personnelle, et éviter de suivre aveuglément les autres est essentiel pour cultiver cette liberté. Quelles stratégies pour développer ce discernement ? Écouter en permanence Pierre, Paul ou Jacques nous empêche de voir clairement ; d’avoir du discernement. Même perdus par des avis divergents, regardons les choses en face. Qu’est-ce qui m’interpelle ? Qu’est-ce qui me rebute ? Comment je me sens dans telle situation ?
Notre corps nous parle en permanence et nous ne l’écoutons pas. Ce pincement au cœur, cette boule dans le ventre parlent d’un déséquilibre entre ma pensée, mes actes, mes valeurs. Pourquoi n’écoutons-nous pas ? Parce que nous n’avons pas appris. En Occident, nous ne savons pas écouter notre corps. Nous le surmenons sans comprendre ses alertes. Nous sommes imprégnés depuis notre enfance par le regard des autres. L’éducation et le politiquement correct nous ont rendus dépendants du regard des autres. Mais les autres sont eux, et si nous voulons être nous, qu’est-ce qui nous en empêche ? Hormis cette culpabilité intérieure qui nous dit : que vont penser les autres ? Et si on s’en foutait de ce que pensent les autres ? Comme dans l’autre chanson d’ailleurs qui disait « laisse parler les gens, on s’en fout ».
Les Médias et les Technologies : Des Outils de Contrôle de la Pensée
Les médias rabâchent des mauvaises nouvelles à longueur de journée, sans jamais ou très rarement, annoncer quelque chose de joyeux ou de beau. Ils nous emmènent dans une sinistrose de peurs. Si nous n’arrivons pas à penser, c’est aussi parce que nous avons en permanence des peurs cultivées par la société. L’avènement des technologies informatiques exacerbe cela. On nous dit de faire comme ci ou comme ça, et comme la machine ou internet l’a dit, nous faisons sans réfléchir. Comment pouvons-nous retrouver notre liberté de penser dans un monde qui nous dicte sans cesse comment agir ?
Conclusion : Réflexion Personnelle et Liberté
Personnellement, j’ai ma liberté de penser. Cette actualité le prouve… et je me fous totalement du regard des autres, ça leur appartient. Et vous ? C’est quoi votre liberté de penser ? Réfléchissons à notre position face à la société et à tout sujet de la vie d’ailleurs. Sommes-nous des révolutionnaires en lutte constante ou des personnes trouvant la paix et la liberté par la compréhension et le détachement ? Savons-nous nous affranchir du regard des autres pour être nous, simplement nous ? Je vous invite à partager vos expériences et réflexions sur cette distinction. Et à chanter à tue-tête la chanson de Florent Pagny : “Ma liberté de penser” en vous foutant du regard des autres.
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